D'Après Osvaldo Cavandoli, La linea,
et un peu de Gaston, d'André Franquin.

Puisqu'on est entre nous, voilà une "blague" qui m'amuse !

«Deux chasseurs se promènent dans la forêt, et l’un d’eux s’effondre soudainement.
Il ne semble pas respirer, ses yeux sont vitreux.
L’autre chasseur sort son téléphone et appelle les services d’urgence.
‘Mon ami est mort ! Qu’est-ce que je peux faire ?’, dit-il.
‘Calmez-vous, je vais vous aider.
Nous devons d’abord être sûrs qu’il est mort’, répond l’opérateur.

Après un court silence, on entend un coup de feu.
Le chasseur reprend le téléphone. ‘Ok, et maintenant ?’».


Sur la commune de Saint-Jean-le-Vieux (01)

Le lundi 15 janvier 2024 ... l'après-midi



Quelques gouttes éparses, sans vraiment qu'il soit possible de les éviter toutes!
Tans pis, un petit tour à proximité ...

Oui, c'est pour bien faire remarquer que ça s'écrit avec un D ... (idem pour l'IGN)

Dans le Progrès, ils mettent un T à la fin.
Comme quoi, si c'est dans le Progrès, ça peut être faux ! aussi

Vu la saison, même le Père Noël préfère rester derrière la vitre.

A l'extérieur sur le rebord d'une fenêtre ...
La Jacinthe d'Orient, Hyacinthus orientalis, de la famille des Asparagaceae.
Après 400 ans de sélections, on dénombre environ 440 cultivars, d'ornement !
(seule une quarantaine est commercialisée)

Une Tourterelle turque, Streptopelia decaocto, de la famille des Columbidae.
D'ailleurs j'ai entendu cette journée, les premières roucoulades !
Cette espèce est originaire d'Inde ...

C'est toujours appréciable, ces plantes qui fleurissent en hiver !
Ici, le Romarin, Salvia rosmarinus, arbrisseau de la famille des Lamiaceae.

Il lui faut un sol calcaire, et il supporte les gelées.
On dénombre plus de 150 variétés de romarin.

Je quitte la rue du Moulin, pour continuer par le chemin de Cheminand.

L'ancien moulin, désaffecté depuis longtemps, est en train de faire peau neuve (image de mars 2013)


Des espaces verts sans grand intérêt, soit tondus, soit livrés au bétail.
Lors du confinement (COVID) c'était redevenu la Nature, belle et variée !
Par endroits il suffit de laisser faire et la nature reprend sa place.

Sur la colline, le Château de Varey, qui semble t-il, n'a toujours pas trouver repreneur ?

Un escargot (en fait, après vérification, une coquille vide) ...
L'Escargot des haies, Cepaea nemoralis, de la famille des Helicidae.
Il se distingue de l'Escargot des jardins, Cepaea hortensis, par le péristome (bord de l'ouverture) foncé.


Première palette de feuilles ...

Un pied mâle de Gui des feuillus, Viscum album, sous-arbrisseau de la famille des Santalaceae.

Pour montrer la floraison d'un pied mâle début mars 2023.

Les anthères sans filet, c'est une spécificité du Gui !
L'étamine est généralement composée d'un filet (sorte de tige) et d'une anthère (portant le pollen)

Image extraite du site http://www.encyclopollens.fr.
Je trouve ce schéma bien complet.
(concerne les espèces hermaphrodites, donc avec attributs mâle et femelle)


Un sous-bois, "nettoyé" ...

En lisière une plantation de Bambous, qui ont atteint une hauteur vertigineuse !
Il s'agit probablement du Bambou commun, Bambusa vulgaris, de la famille des Poaceae (Graminées).
Bien sûr (!) c'est une plante originaire de Chine, actuellement naturalisée sur tous les continents.
C'est une plante hermaphrodite (bisexuée) qui fleurit rarement (tous les 20 ans)

C'était le jour pour en faire au moins une photo !

Une astéracée qui a semé au vent ses akènes (graine) surmontés d'un pappus (aigrette de poils) ...

Incompréhensible !
Après avoir trouvé un coin tranquille, sympa, il faudrait plutôt le préserver ! ?
Ben non ... y laisser ses déchets est préférable.

Le livre de la nature aux feuilles détachées.

Je prends le temps d'aller voir un des arbres remarquables de l'endroit ... un Chêne.
Depuis le temps il faudra bien que je cherche de quelle espèce il s'agit !

Comme la flore, je commence à être plutôt humide ... matériel photo inclus.

Je prends donc le chemin du retour, après ces 2 "petites" heures de plein air.

En 3ème, plutôt un sapin, mais trop jeunes pour être déterminé.
Les aiguilles des Pins sont insérées par groupes (2 à 5) sur le rameau.
Celles du Sapin sont implantées une par une.

Sur le talus, les feuilles sont prêtes pour alimenter les floraisons.
Celles des Primevères communes, Primula vulgaris, de la famille des Primulaceae.
Ou Primevère acaule, Primevère sans tige.

Juste pour agrémenter ce "récit" de quelques fleurs (image de mars 2014)

Le Noisetier commun, Corylus avellana, de la famille des Bétulaceae.
Ou Coudrier.
C'est un arbre monoïque (floraisons mâles et femelles sur le même arbre)
Ici, ce sont les chatons regroupant les inflorescences mâles.
Le décalage dans le temps des floraison mâles et femelles procure à l'arbre une autostérilité.

Pour montrer les stigmates des fleurs femelles qui dépassent d'un bourgeon mixte (fleurs et feuilles)
image de février 2022.

Un peu d'humeur, de l'humour, des Humoeurs

Je collecte les témoignages de ces temps inédits !
Les artistes de rue illustrent aussi dans tous les pays l'époque "formidable" que nous vivons.
Souvent avec bonheur ... chapeau les artistes !


En Norvège ...









A bientôt pour d'autres images.

Yves

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